Êtes-vous jeunes? Apirez-vous à des grandes choses mais les haters vous dévouragent? Voulez-vous laisser votre trace dans ce monde ? Voulez-vous qu’on lise votre histoire après votre départ ? Dans cet article je vous partage comment le désir de laisser sa trace d’une manière noble dans ce monde m’a récompensé. Mais si vous voulez découvrir comment cela a commencé je vous prie de lire mon article sur l’activisme.
Pour paraphraser l’apôtre Paul: « Je vous ai montré en toutes choses que c’est en peinant ainsi que vous devez venir en aide aux faibles… Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir.” Je suis une preuve que ces paroles sont vraies et qu’elles peuvent se réaliser dans la vie de tous. Le prix Jeune Espoir qui m’a été décerné pour avoir posé des actions qui contribuent à l’épanouissement de ma communauté et qui font avancer l’agenda global de développement d’ici 2030 en République Démocratique du Congo a été un grand honneur pour moi et pour tous ceux qui m’ont pousser à aller plus haut.
Ayez l’habitude de donner, et on vous donnera. On versera dans votre giron une belle mesure, tassée, secouée et débordante. Car c’est avec la mesure dont vous mesurez qu’on mesurera pour vous en retour.
Luc 7: 38
La moitié d’entre vous qui lisez mes billets m’encourage et l’autre moitié me dit : »Tu passe ton temps inutilement à écrire sans être payer. Et donc la première moitié ne va pas être déçu. Je vous raconte. Comme je l’ai déjà dis et je continuerai à le dire, le désir de laisser ma trace dans ce monde en donnant en retour est la chose qui m’a pousser à me lancer dans cette noble quête pour le climat. J’ai commencé avec des petites choses jusqu’à ce que j’intègre la blogosphère francophone. Laissez-moi vous dire que ces petites actions sur le climat que je partageais à travers mes petits billets se sont avérer une grande qui m’a permis de marquer ma génération et de graver mon nom dans dans l’histoire des jeunes de mon pays le 18 août 2023, j’ai été nominé parmi les 100 Jeunes Espoir de la République Démocratique du Congo de la quatrième édition de la catégorie Engagement sur le changement climatique et environnement.
Nourrissez les autres, vous mangerez bien vous-même
Bien que je recevais des commentaires négatifs de la part de certains cela ne m’empêchait pas de continuer ma quête. Je ne cessais de me rappeler de l’histoire que j’avais lis dans le livre Rendez-vous au sommet de Zig Ziglar. L’histoire d’un touriste qui visita le ciel et l’enfer.
Comme le diable avait la première chance, il lui fit donc voire d’abord l’enfer. A première vue, le spectacle était assez surprenant. Tous les occupants étaient assis à une table de banquet chargée de tous les aliments inimaginables, y compris des viandes de tous les coins du globe, des fruits, des légumes, et des mets les plus délicats connus de l’homme. Non sans raison, le diable lui fit remarquer qu’on ne pouvait demander davantage. Cependant, en regardant de plus près, le touriste ne vit pas un seul sourire sur tous ces visages. Aucune musique, aucune marque de gaieté n’accompagnait la fête. Les convives étaient tristes et distraits et d’une maigreur squelettique. Le touriste remarqua qu’on avait attaché une fourchette au bras gauche et un couteau au bras droit de chacun. Chaque ustensile avait un manche d’un mètre qui en rendait l’usage impossible. Ils mouraient donc de faim devant des monceaux d’aliments de toutes espèces.
L’étape suivante était le ciel. Le touriste trouva un spectacle en tous points identiques mêmes aliments, mêmes couteaux et fourchettes à manches d’un mètre. Pourtant, les habitants du ciel riaient, chantaient et s’amusaient beaucoup. Ils étaient bien nourris et en excellente santé. Le touriste n’y comprit rien. Il se demandait comment des conditions si semblables pouvaient produire des résultats si dissemblables. Les habitants de l’enfer étaient malheureux et crevaient de faim. Ceux du ciel étaient heureux et bien nourris. Il perçut en fin la réponse. Chaque habitant de l’enfer essayait de se nourrir lui-même. Un couteau et une fourchette d’un mètre rend la chose impossible. Chaque habitant du ciel nourrissait son vis-à-vis de l’autre côté de la table et celui-ci lui rendait le même service. En s’entraidant, ils s’aidaient eux-mêmes. La leçon est claire… vous obtiendrez tout de la vie si vous aidez suffisamment d’autres gens à obtenir ce qu’ils désirent. «
Cette histoire me motivait malgré tous ce que les haters pouvaient me dire, je garde à l’esprit clairement ce que je voulais. Je ne pouvais me payer le luxe de laisser quoique ce soit m’égarer de mon objectif. Cette nomination ne serait possible sans Mondoblog, elle ne serait pas non plus possible sans Greenpeace Afrique, non plus sans Africa Youth Mobilisation for COP et ni encore sans tous ceux qui m’encouragent dans cette noble quête pour le climat ainsi qu’à ceux qui me lisent. Que tous trouvent l’expression de ma profonde gratitude à travers ces lignes. Ayant reçu mon premier prix au niveau national, je compte pas m’arrêter. Étant donné que le combat pour le climat est mondial, graver mon nom sur le plan mondial est mon plus grand objectif.
Si ce n’est pas nous, alors qui ? Si ce n’est pas maintenant, alors quand?
Annika Thor
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